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Dans la cours de l’université de N’Djamena, ce 15 octobre, on y voit des étudiants regroupés, entrain de se raconter les merveilles de leurs vacances. Mais aussi, un autre sujet s’ajoute et s’impose : la non-effectivité des cours. Pas de reprise. C’est aussi notre constat. L’université de N’djamena semble retrouver ses vieux démons. En effet, depuis la prise en main de l’Université par le Dr Ali Abderrahmane Haggar, celle-ci a vu ses beaux jours, elle a retrouvé son blason (le paiement des bourses estudiantines, le respect de l’année académique….). Qu’y a-t-il cette année ?
D’abord, le syndicat des enseignants-chercheurs est en grève illimitée allant du 13 octobre jusqu’à satisfaction totale de leurs revendications. Des revendications qui tournent autour des terrains des enseignants chercheurs à Toukra et l’accès au fond d’appui à la formation des formateurs (CONFOFOR). Ajouté à ces deux points majeurs de la crise, la question de l’effectivité des résultats du second semestre dans certaines facultés. « Nous sommes déjà le 15 octobre et les procès verbaux de nos résultats du second semestre ne sont pas publiés. On accusera certainement un retard… » a souligné un étudiant de la faculté des Sciences Juridiques.et Politiques.
« Je suis là pour mon attestation de niveau mais la grève des enseignants rend difficile le processus… », précise une étudiante.
Un autre floue vient s’ajouter à la crise de cette année académique. La suppression des niveaux maitrises et l’instauration du système d’enseignement LMD, qui n’est pourtant pas encore effectif. L’inquiétude est encore grande pour les étudiants qui passent pour le second cycle à l’Université. De l’autre côté, au Rectorat, le retard de la publication des listes des nouveaux recrus est aussi décrié et amplifie les facteurs de la crise. Un doute plane encore sur l’éventuelle reprise des cours à l’Université de N’Djamena.
D’abord, le syndicat des enseignants-chercheurs est en grève illimitée allant du 13 octobre jusqu’à satisfaction totale de leurs revendications. Des revendications qui tournent autour des terrains des enseignants chercheurs à Toukra et l’accès au fond d’appui à la formation des formateurs (CONFOFOR). Ajouté à ces deux points majeurs de la crise, la question de l’effectivité des résultats du second semestre dans certaines facultés. « Nous sommes déjà le 15 octobre et les procès verbaux de nos résultats du second semestre ne sont pas publiés. On accusera certainement un retard… » a souligné un étudiant de la faculté des Sciences Juridiques.et Politiques.
« Je suis là pour mon attestation de niveau mais la grève des enseignants rend difficile le processus… », précise une étudiante.
Un autre floue vient s’ajouter à la crise de cette année académique. La suppression des niveaux maitrises et l’instauration du système d’enseignement LMD, qui n’est pourtant pas encore effectif. L’inquiétude est encore grande pour les étudiants qui passent pour le second cycle à l’Université. De l’autre côté, au Rectorat, le retard de la publication des listes des nouveaux recrus est aussi décrié et amplifie les facteurs de la crise. Un doute plane encore sur l’éventuelle reprise des cours à l’Université de N’Djamena.